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Vertébrale 2 / Deadline 7 / Lancement & concert

Lundi 18 juin à 18h30 !

Lancement du second numéro de VERTEBRALE et du numéro 7 de DEADLINE. La soirée débute à 18h30 et sera mise en musique dès 20h30 par le duo de chanteuses folk LILT.

VERTEBRALE est une revue dans laquelle collaborent artistes ou écrivains et se construisant, à l’image de ce qu’écrivait Michel Butel, comme une sculpture. “Vertébrale” propose un espace court pour permettre aux mots et aux images d’atterrir, le temps d’un cri et d’une page blanche. Un feuillet par auteur, qui se lit en quelques minutes, se prête, se range, se chiffonne, s’affiche sur vos murs ou dehors !

Au sommaire de ce second numéro : décollage sous forme de témoignages pour l’Italie, Haïti, le Yémen, Israël et la Palestine. Et dans quelques autres cartographies intimes, là où les questions d’identités se cognent sans se taire.

Avec :
Chan Malandros, Popcube, Sophie Rakotondrasoa, Simona d’Ostuni, Zephir, Georges Nesly, Myriam Mihindou, Alvar Grav, Didier Garguilo, Dwam Ipomée, Nina Bunjevac, Ophélie Jaësan, Franz-Olivier Seewald, Tarmasz, Julie Maroh, Gaelle Hersent, Julie Nivert, Tristan Seré de Rivières, Stéphanie Ledoux, Shimrit Lee, Lucie Inland, Guillaume Bianco, Lisa Pluie et Maya Mihindou.

http://cargocollective.com/revuevertebrale/

DEADLINE est un fanzine français de dessins et bandes dessinées internationales. Il privilégie sobriété plastique et épopées internes.

Au sommaire du n°7 :
David Calvo, Luis Perez Calvo, Jacinthe Chevalier, Julie Delporte, Fafé, Ronald Grandpey, Julien Griffaud, Alexandre Kha, Nina Le Corre, Lisa Lugri , Maya Mihindo , Popcube, Power Paola.

http://journaldeadline.blogspot.fr/

Vous aurez l’occasion de découvrir, lors de cette soirée, les deux jeunes chanteuses de LILT : http://www.myspace.com/eeryfairyhole

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Célia Callois / Motif à mots n°4 / Graine d’encre / Lancement

Vendredi15 juin à 18h30

Après des kilomètres de papiers froissés et des tonnes d’encres versées, les éditions Graine d’encre sont heureuses de vous annoncer la publication de Motif à mots n°4 de la jeune et talentueuse artiste Célia Callois. Un coffret original dans lequel vous découvrirez, feuillet après feuillet, les illustrations et les textes à l’esprit incisif de ce journal pas comme les autres !

Ce livre-objet est réalisé en tirage limité de 200 exemplaires numérotés.

Sa sortie sera accompagnée d’une exposition des illustrations originales de l’artiste, qui aura lieu le 15 juin au Monte-en-l’air, à Paris.

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Blex Bolex / L’Arrière-pays / Orbis Pictus / Lancement

BLEXBOLEX – L’ARRIÈRE-PAYS

Le mercredi 20 juin à 18h30 !

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IL N’Y EN AURA PAS POUR TOUT LE MONDE !

Seulement 235 exemplaires (+ 40 ex. auteur) de cet album de vingt-quatre planches sérigraphiées au format 25 x 35 cm, sous habillage toilé, sérigraphié avec titre. Certains trouveront son prix rédhibitoire. Est un point de vue. Aussi, mieux vaut de notre côté annoncer la couleur : L’Arrière-pays est une œuvre d’art qui prend la forme d’un livre. Ni isbn, ni code barre, ni fnac. La dite œuvre d’art (pas un petit collector, ou produit dérivé à la con) sera disponible uniquement auprès de trois (peut-être quatre) valeureux libraires et sur le site orbispictusclub.com. Son prix de vente augmentera au fur et à mesure que son tirage s’épuisera, œuvre d’art oblige. Sa conception et sa réalisation ont demandé deux années d’exigence à son auteur, à son imprimeur, et à son éditeur, qui sabreront le champagne avec les compagnons libraires du Monte-en-l’air le mercredi 20 juin 2012. Pour ceux qui n’auront (ou ne se donneront pas) les moyens d’acquérir cet ensemble sérigraphique, une édition plus abordable paraîtra probablement dans quelques temps en offset aux éditions Cornélius et/ou Nobrow. Seront également disponibles en dédicace Crimechien et Hors-Zone, ainsi que quelques derniers exemplaires de La Fêlure, dont une série de quatre estampes. Champagne !

Blexbolex par Blexbolex =

Je ne suis ni peintre, ni écrivain, ni graphiste, et en fin de compte, peut-être pas auteur de bande dessinée non plus. Je n’ai souvent même pas une histoire derrière laquelle me réfugier. Le livre est en première ligne. Il est ce que je fais, en réalité. Mais je ne suis pas un artiste du livre pour autant, parce que je ne remets pas sa forme en question, ni son fonctionnement, ou son rôle. Si j’interroge certains de ses aspects, cela ne constitue pas une critique fondamentale. Disons que je me sers du livre pour formuler mes questions sous forme d’idées. Du coup, la réalisation d’un livre s’apparente à l’exécution d’un morceau de musique par un orchestre : il faut le jouer juste et le mieux possible. Et pour cela, il faut que j’aie connaissance des moyens qui sont à ma disposition : la qualité de l’impression, les encres, le papier principalement. Le reste est secondaire, sans être négligeable pour autant car cela participe très activement au ton et à l’atmosphère, à la scénographie de l’ensemble. Pas besoin d’utiliser des matériaux forcément « nobles », d’ailleurs, des matériaux très modestes sonnent parfois étonnamment justes, et parfois à ma grande surprise ! Il ne faut pas perdre de vue que mon activité s’exerce dans les domaines mineurs que sont les livres pour les enfants et les récits en images. C’est là où je me trouve bien. Ma création est plus subordonnée au livre qu’elle n’est conditionnée par lui. Je ne désire pas autre chose, dans le fond.

J’ai abandonné le trait d’une part parce que je n’en avais plus besoin, et d’autre part parce que je ne savais jamais où le placer. Il me gênait. Je m’en suis rendu compte en travaillant sur une sérigraphie, en positionnant le film du trait sur les couleurs imprimées, pour vérifier le repérage, et en constatant que l’image était moins forte. J’ai enlevé le trait, et l’image était finie. En voulant encrer un crayonné qui était correct, combien de fois ai-je ruiné mon dessin, en encrant soit trop à l’intérieur, soit trop à l’extérieur, avec des conséquences aussi déplorables que ridicules ? Un trait doit être parfaitement équilibré, il faut être très confiant, ce que je ne suis pas. Avec la gouache ou l’ordinateur, je peux modeler mon dessin jusqu’à ce que je le trouve satisfaisant. C’est une sorte de sculpture en 2D, c’est très amusant. Du coup, il m’arrive même assez souvent de me passer d’esquisse préparatoire, je peux me fier à l’image que j’ai en tête sans l’angoisse de la réalisation. Je trouve aussi que l’image ainsi faite a souvent une dimension plus mystérieuse que celle que je peux produire par le dessin, parce que mon geste devient invisible. Elle me donne l’illusion que ce n’est pas moi qui l’ai produite, qu’elle vient d’ailleurs, d’une dimension à laquelle je n’ai pas accès si je ne me perds pas dans l’image.

BLEXBOLEX – L’ARRIÈRE-PAYS

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Soirée événement / revue M.E.R.C.U.R.E.

Jeudi 14 juin, à partir de 18h, venez fêter la revue ME.R.C.U.R.E.
au Monte-en-l’air.
La librairie et la revue M.E.R.C.U.R.E. accueilleront un concert de Shrouded & the Dinner (lo-fi folk).

Au sommaire de la revue :

« Entre une gibbeuse croissante et son dernier quartier de juillet 2011, dans le val d’Emeraude, chez le bien nommé John, sous la charpente d’une bergerie, les artistes suivants ont contribué au premier numéro de la revue MERCURE:

Sylvain AzamAdel GhezalDamien MacDonaldMaya PalmaManon RecordonMartha Salimbeni et Giuliana Zefferi

MERCURE remercie Hippolyte Hentgen pour leur participation extra-ordinaire. »

http://www.revuemercure.com