Jeudi 14 janvier à 18h30, rencontre avec l’équipe de la revue Audimat.
Samuel Aubert, le directeur de publication d’Audimat, avait jusqu’ici occupé une position radicale quant à l’idée d’une soirée de lancement/vernissage/meet-up de notre revue : “Si c’est juste pour boire des coups et filer des revues gratuites, je ne vois pas bien l’intérêt”, répétait-il, implacable, avec son léger accent toulousain et son air du mec à qui on ne la fait pas.
Les raisons qui l’ont récemment poussé à changer d’avis restent encore floues : une soudaine fascination pour la nuit parisienne ? Une brutale addiction à l’alcool ? Ou une fierté irrépressible en prenant conscience, un soir de pluie, qu’il tenait à bout de bras les rênes de la plus acclamée des revues musicales publiées dans l’espace Schengen ?
La réponse restera à tout jamais nimbée des volutes du mystère, elle flottera entre les lignes de ces histoires qu’on chuchote à l’oreille de complices élus au hasard, entre deux lives au Point FMR. On la rangera aux côtés d’autres affaires non-classées concernant le citoyen Aubert, tel cet énigmatique numéro zéro d’Audimat (pourquoi zéro ? pourquoi pas un ? pourquoi cette police de caractères ?), qui, à ce jour, continue d’en hanter plus d’un.
Le numéro 4 d’Audimat est sorti mi-novembre mais c’est mi-janvier que nous avons décidé d’en célébrer l’existence.
Lecteurs, haters, lovers, collaborateurs, amis, journalistes musicaux en quête de sens : venez nombreux, c’est un jeudi à Ménilmontant.
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SOMMAIRE DE NOTRE NUMERO 4
Drew Daniel * Contre les Top 10
Agnes Gayraud * Français, deuxième langue
David Thomas * Ghoulardi, premier punk de l’Ohio
Etienne Menu * Une histoire d’Ocora
Olivier Lamm * L’âge d’or de la techno-pop japonaise
W. David Marx * A propos de The Plastics
Olivier Quintyn * L’ère du glitch
Francis Marmande * “Le” free jazz n’existe pas