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Rebecca Topakian / Infra / Lancement

Dimanche 12 novembre de 17h à 20h, Classe Moyenne Éditions vous invite au lancement du livre de Rebecca Topakian, INFRA-

infra

INFRA- :
À la recherche des corps en transe, Rebecca Topakian utilise un appareil numérique qu’elle a transformé afin qu’il ne soit sensible qu’aux longueurs d’onde de l’infrarouge. En utilisant un éclairage du même type, invisible à l’œil humain, elle photographie les danseurs à la façon d’un espion, inspirée par les photographies de nuit des chasseurs. Les sujets se révèlent alors dans des moments d’abandon, loin d’une quelconque mise en scène. Leur silhouette fantomatique semble alors sortir du vide, et s’y effacent aussitôt, offrant au regardeur des portraits de l’oubli de soi.

Le livre se présente comme une collection de 20 posters de format A3 emboîtés et reliés par un élastique.
Impression argentée sur papier serio nero
600 exemplaires
20€

CLASSE MOYENNE ÉDITIONS :
Créer en 2016 entre Lille et Paris, classe moyenne éditions publie des livres et multiples d’artistes.

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La Fontaine, en vers et contre tout / Sylvie Dodellier

Samedi 11 novembre de 17h à 20h !

fontaine

Jean de La Fontaine, ce nom vous dit quelque chose ? Bien sûr, vous pouvez réciter quelques-uns de ses vers, voire des fables entières, La Cigale et la Fourmi, Le Corbeau et le Renard… Mais l’homme ? Ou plutôt « le bonhomme », comme l’appelaient ses amis ? Il n’a publié ses fables qu’à 47 ans et s’est d’abord rendu célèbre grâce à ses contes pour adultes. Il aimait le vin, les femmes, le jeu, et par-dessus tout la poésie. C’était un mauvais père, un piètre mari, mais un ami fidèle, surtout avec les réprouvés et les bannis. Il ne fréquentait ni la cour ni Versailles, et Louis XIV ne le portait pas dans son coeur. Jean de La Fontaine, l’un des plus grands poètes français, reste pour beaucoup d’entre nous un illustre inconnu !

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De sa vocation de journaliste, Sylvie Dodeller conserve une inaltérable curiosité pour les choses nouvelles. Insatiable arpenteuse des rues du vieux Paris, dévoreuse de romans historiques et de biographies (et même d’un ‘Manuel pour la fabrication des savons’), elle allie dans son écriture la rigueur de l’enquête livresque au travail de terrain. Dans un style accessible et précis, Sylvie Dodeller redonne vie au quotidien d’autrefois, comme cette traversée de Paris tout en senteurs et en éclats de voix dans les rues crottées et gouailleuses du XVIIe siècle. Soucieuse d’offrir à ses jeunes lecteurs, comme elle le fait déjà avec son jeune fils, le mode d’emploi d’une époque révolue, Sylvie Dodeller multiplie les allers-retours dans le temps, et parvient à nous rendre Molière aussi familier qu’un vieux copain de collège.

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‎De la vigne aux platines / Éditions de l’épure / Lancement

Jeudi 9 novembre à partir de 18h30, venez fêter la publication De la vigne aux platines publié aux éditions de l’épure.

En réaction à la généralisation des playlists et des vins au verre trop vite consommés, ce livre a été pensé comme une invitation à prendre le temps de « déguster des albums » et « écouter des vins » qui se répondent, et découvrir 50 histoires d’exaltation des sens et d’amitiés.

De la vigne aux platines invite à découvrir 50 « couples albums-vins » unis par leurs textures, leurs couleurs, leurs arômes… Chaque « couple » est présenté par un texte court ou un dessin traduisant ces sensations, émanant d’écrivains, musiciens, journalistes rock, dessinateurs, photographes… ou simples amis. L’ouvrage est constitué de deux parties : une première partie Sensible, qui réunit les textes et dessins que l’expérience d’écoute-dégustation a inspirés à chaque auteur, et une seconde Intelligible qui prolonge ces évocations et propose, pour chacune d’elles, une présentation de l’auteur, de l’album et du vin. Les « couples » proposés sont le fruit d’une méthode réfléchie, ayant consisté pour chaque album à présélectionner plusieurs vins, et à les goûter consciencieusement au son des disques retenus pour les départager, lors de mémorables séances en compagnie de mélomanes-oenophiles.

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Olim / Editions du Trainailleur / Lancement

Mardi 7 novembre à 18h30

Olim

Les Éditions du Trainailleur sont fières de vous présenter leur dernier ouvrage, Olim, livre-objet, fétiche graphique, relique dépliante cosmogonique. Sa publication se fait en hommage à Anaïs Suzzoni, disparue quelques mois après l’avoir réalisé, il y a bientôt cinq ans.

Après un long travail d’édition, d’impression de façonnage, financé en partie par une souscription, le livre est enfin prêt ! Il sera disponible en librairies d’ici quelques jours, et pour fêter ça, nous avons le grand plaisir de vous inviter au lancement.

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L’Histoire de Ned Kelly + Tiens, ils ont repeint ! / Helium & La Découverte / Lancements

Mercredi 8 novembre à partir de 19h, soirée pour fêter L’histoire de Ned Kelly de Marie-Eve de Grave publié aux éditions Helium et Tiens ils ont repeint ! de Yves Pagès publié à La Découverte.

ned kelly

L’Histoire de Ned Kelly de Marie-Ève de Grave

Ned Kelly, 1855-1880, fils de misérables colons irlandais, un temps voleur de chevaux, tireur exceptionnel, meurtrier, mais aussi bandit au grand coeur dont le premier fait-divers fut d’avoir sauvé un enfant de la noyade, sorte de Robin des Bois australien du dix-neuvième siècle, devint le symbole de la résistance contre l’Empire britannique.

Dans ce roman graphique à la maquette typographique signée Philippe Bretelle, sous la plume de Marie-Ève de Grave et au travers des impressionnantes linogravures de l’artiste Jean-Jacques de Grave, le hors-la-loi utopiste raconte sa propre histoire, à la veille de sa capture fatale.

Illustrations de Jean-Jacques de Grave

En savoir plus : http://helium-editions.fr/livre/lhistoire-de-ned-kelly/

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Tiens, ils ont repeint ! 50 ans d’aphorismes urbains de 1968 à nos jours de Yves Pagès

On dit des murs qu’ils ont des oreilles, mais sait-on qu’ils murmurent ? Celles et ceux qui, depuis le milieu du XIXe siècle, s’emploient illégalement à y laisser des traces – avec force craie, charbon, feutre, pinceau ou bombe aérosol – l’ont bien compris : les murs nous interpellent. Avec leur ironie revêche, leurs espoirs tronqués, leur fantaisie abrupte, ils font écho à des paroles enfouies au plus profond de nous. Ils portent les mots qui, inscrits là sans destination ni droit de cité, sont livrés à tous les regards et « contaminent » l’espace public, troublant ainsi l’ordre du discours.
La folle et jouissive collecte textuelle d’Yves Pagès – plus de 4000 graffitis urbains du monde entier des cinquante dernières années, fidèlement retranscrits, datés et localisés – forme une mémoire inédite. Une mémoire de la joie virale du bon mot, de l’énergie politique gratuite, de l’audace minuscule, de la poésie mineure et éphémère, des marges de la syntaxe, de l’invention maladroite, du plaisir de l’inachevé. On pourra dévorer ce livre en respectant son avancée chronologique, s’y perdre par associations flâneuses d’idées, en extraire à mesure son propre florilège ou, tout simplement, l’ouvrir n’importe où et se fier au seul hasard d’un cadavre exquis.

En savoir plus : http://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Tiens__ils_ont_repeint__-9782707197313.html