Mardi 29 juin à 19h, présentation du n°26 de la revue Les Mondes du Travail / travailler en temps de pandémie.


Mardi 29 juin à 19h, présentation du n°26 de la revue Les Mondes du Travail / travailler en temps de pandémie.
Dimanche 27 juin à partir de 17h avec Baptiste Lignel et Gilles Clément.
Sauvage est un livre engagé qui interroge les rapport de l’Humain au Vivant. Des sentiments toujours présents, mais aussi les phases successives de l’histoire longue de l’humanité, qui l’ont mené à un système économique dominant catastrophique. Ce qui invite aujourd’hui au besoin de rentrer en résistance, et à penser d’autres rapports possibles.Dès l’ouverture du livre, Gilles Clément nous invite à une promenade à travers une forêt onirique, et à travers ses réflexions. Nous y rencontrons Le chevreuil, qui nous guide. Une poésie qui se prolonge tout au long du livre dans de piquantes notices botaniques.Baptiste Lignel a arpenté la France – métropolitaine et ultramarine – pour témoigner, en photographies, des manières et des lieux où le concept de « sauvage » – l’exploitation du Vivant – se déploie.Ses images noir et blanc empreintes de poésie graphique s’accompagnent de la précision journalistique de leurs légendes.Sauvage est un livre qui pose des questions âprement contemporaines.http://www.sauvage.photo/
Samedi 26 juin à partir de 15h
Dédicace du livre “Parlons poils : le corps des femmes sous contrôle” en présence des autrices Juliette Lenrouilly et Léa Taieb à partir de 15h.Le poil féminin vit une révolution : célébrités et anonymes affichent fièrement leur corps velu. Sur Instagram notamment, des dizaines de comptes donnent une visibilité à la pilosité féminine et présentent la femme autrement.Pour autant le poil féminin est loin de gagner la bataille de l’opinion : près de 80 % des Françaises se déclarent contre le retour des aisselles non épilées, le marché des produits dépilatoires se porte comme un charme et nombreuses sont les personnes qui continuent à associer le poil féminin à quelque chose de « viril » ou « non hygiénique ».Conclusion : les femmes ont des poils et, au XXIe siècle, c’est un sujet toujours aussi compliqué. Alors on a décidé d’en parler et d’en comprendre les enjeux. Pour cela, nous avons mené une enquête à la fois 2.0 (sondages, expo, blog) et auprès de spécialistes : historiens, sociologues, psychologues, dermatologues, gynécologues, esthéticiennes et experts en marketing.Juliette Lenrouilly est née en 1996 à Saintes, en Charente-Maritime. Après un double diplôme en journalisme et lettres modernes à Lille, elle entre à l’école de journalisme de l’Institut français de presse. Passée par Slate, L’Obs, Le Paris-Normandie et Loopsider, Libération, elle travaille aujourd’hui pour France Télévisions.Léa Taieb est née en 1992 à Paris. Après une classe préparatoire et l’École de management de Grenoble, elle se reconvertit et poursuit une formation à l’école de journalisme de l’Institut français de presse. Journaliste société et touche-à-tout, elle fréquente les rédactions de La Provence, Le Monde, Challenges et Les Échos.
Samedi 25 juin, apéro/dédicace de 18h à 20h
Clown à la Joie de lire
Chez les clowns, tout est dans le nez ! Dès que le nouveau personnage de Victor Hussenot met le sien, son pouvoir d’amusement est sans limite. Bien sûr, chapeau, habits et chaussures complètent la tenue. Au fil des pages, le clown va de clowneries en clowneries, toutes plus drôles les unes que les autres. Une déambulation où humour et poésie s’entremêlent avec un incroyable zeste de fantaisie. Soudain, le clown se tourne vers les lecteur.rice.s et lance son fameux nez rouge… Saurez-vous l’attraper au vol ?Avec ce nouvel album, Victor Hussenot confirme son talent de virtuose de la péripétie cocasse et désarmante.
Gaufrier à la Cinquième Couche
Le gaufrier (aussi appelé “moule à gaufres” quand il désigne l’ustensile ou qu’il devient une invective dans la bouche d’un certain marin) est une expression utilisée par Hergé pour désigner la grille d’images qui découpe la planche de bande dessinée. Hussenot s’empare du concept pour en constituer des variations infinies et ludiques jusqu’à épuisement : personnages et décors se le coltinent, le subissent, s’y empêtrent ou s’en affranchissent cruellement ou joyeusement.