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Les Situationnistes, une avant-garde totale / Eric Brun / Débat avec Shige Gonzalvez

Samedi 15 novembre à 18h30.

A l’occasion de la parution de l’ouvrage “Les Situationnistes, une avant-garde totale” (CNRS Editions), Shige Gonzalvez recevra Eric Brun.

les-situationnistes.jpgIl y sera aussi question de la publication de Raoul Vaneigem et Gérard Berréby, “Rien n’est fini, tout commence” (Editions Allia), ainsi que d’Andrew Hussey qui publie “Guy Debord, La Société du spectacle et son héritage punk” (Éditions Globe).

L’Internationale situationniste naît en 1957 de la rencontre entre plusieurs collectifs d’artistes européens, avant de se transformer au cours des années 1960 en groupe révolutionnaire. Elle est aujourd’hui reconnue comme l’une des dernières incarnations du modèle des « avant-gardes historiques ». Son principal penseur, Guy Debord (1931-1994), a été intronisé après sa disparition comme l’une des figures majeures des arts et de la philosophie politique des années 1950-1960.

Première analyse sociologique du mouvement situationniste, cette histoire éclaire les parcours croisés des acteurs qui l’ont animé, décrypte leur relation à l’art et aux institutions artistiques, à la pensée marxiste et aux intellectuels, à la politique et au militantisme. En prenant parti pour une mise au jour lucide des pratiques et idées situationnistes, Éric Brun renouvelle notre connaissance des avantgardes, de leurs formes de politisation et d’internationalisation, et engage une réflexion sur les apports et limites de ce courant subversif qui n’ambitionnait rien moins que d’établir une nouvelle civilisation. Une contribution majeure pour comprendre le rôle des artistes dans la contestation révolutionnaire et celui des « situs » en Mai-Juin 1968.

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Victor Hussenot / Les gris colorés / Editions La Cinquième couche / Lancement

Vendredi 14 novembre, soirée avec Victor Hussenot à l’occasion de la sortie de Les gris colorés aux éditions La cinquième couche.

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Récit non-linéaire de petites histoires quotidiennes de tout-un-chacun, Les Gris colorés est une série d’histoires courtes et de dessins mettant en rapport les sensations des personnages avec des couleurs, afin de mettre en évidence la signification émotionnelle de chaque situation. Ces gris colorés sont une source sur notre nature d’homme et de femme dans notre société contemporaine. Le langage des bulles y est quasiment absent, comme pour mieux laisser place à celui de la couleur, au dialogue entre contour et surface.

Se dégageant de la perspective et de la représentation de l’espace, Victor Hussenot donne la part belle au ressenti de ses personnages. Mettant la forme au service du fond, assumant le vide au profit du plein, il se débarrasse de la case et de la bulle, jouissant ainsi de l’espace de la planche. La séduction immédiate que procure la couleur, faisant écho au blanc de la page et aux contours net de son trait, confère au livre son accessibilité et sa facilité de lecture. Adapté à tout type de lecteur, Les Gris colorés est un pari gagnant.

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Laure Limongi / L’Hospitalité / Una stonda corsa #2 (un moment corse, épisode 2) / Marco Biancarelli, Jérôme Ferrari, Xavier Dandoy de Casabianca

Jeudi 13 novembre à 19h, una stonda corsa #2 (un moment corse, épisode 2) avec Marco Biancarelli, Jérôme Ferrari et Xavier Dandoy de Casabianca.

Corse 2On ne présente plus l’attachement à la Corse de notre prix Goncourt 2012 pour Le Sermon sur la chute de Rome (Actes Sud), Jérôme Ferrari.

Marco Biancarelli vient de publier un nouveau livre chez Actes Sud, Orphelins de dieu. Tous deux parleront de leur rapport à la langue corse, et notamment du choix d’écrire en corse ou en français.

Xavier Dandoy de Casabianca est le créateur et le directeur des ÉDITIONS ÉOLIENNES installées à Bastia. Il est également typographe et a créé une lettre spécialement conçue pour la langue corse. http://www.editionseoliennes.fr/

Sans oublier une dégustation de charcuterie et de fromages corses, provenant de l’épicerie TERRA CORSA, 42 rue des Martyrs, 75009 Paris.

& vous pourrez toujours commander le fameux coffret mystère relatif à la Corse du TAMPOGRAPHE SARDON, lancé en exclusivité à l’occasion de ces stonde corse le 24 octobre… http://le-tampographe-sardon.blogspot.fr/

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Anne-Sophie Coiffet / Concrétion, Pulsation, Résonnance, Vibration, Expansion / Dédicace

Dimanche 9 novembre à 17h, dédicace de Anne-Sophie Coiffet à l’occasion de la publication de Concrétion, Pulsation, Résonnance, Vibration, Expansion

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Série 1 – 5 livrets

Du point à l’astre, rêverie spatiale.

Pour cette première série, l’artiste réalise un ensemble de collages numériques et de dessins au Rotring réunis dans 5 livrets : Concrétion, Pulsation, Résonnance, Vibration, Expansion. Inspirations géologiques, astronomiques et poétiques, les données et les références se chevauchent en un épais réseau de lignes. Les formes telluriques s’agglomèrent et s’éveillent, résonnent puis vibrent jusqu’à devenir elles-mêmes espace.

« L’image ne veut pas se laisser mesurer. Elle a beau parler espace, elle change de grandeur. La moindre valeur l’étend, l’élève, la multiplie. Et le rêveur devient l’être de son image. Il absorbe tout l’espace de son image. Ou bien il se confine dans la miniature de ses images. C’est sur chaque image qu’il faudrait déterminer, comme disent les métaphysiciens, notre être-là au risque de ne trouver quelquefois en nous qu’une miniature d’être1. »

Cosmogonie miniature ou métaphore de l’immensité, la forme oscille dans un ‘entre-deux’ comme suspendue. Elle devient un espace des possibles, un lieu de métamorphose dont les transformations fixent et défont leurs rapports. La forme-en-devenir se propage comme une « sorte de fissure, par laquelle nous pouvons faire entrer dans un règne incertain, qui n’est ni l’étendu ni le pensé, une foule d’images qui aspirent à naître2. »

Anne-Sophie Coiffet est une artiste française basée à Paris. Après des études de lettres, d’histoire de l’art, d’arts du spectacle et d’esthétique, elle travaille dans divers espaces culturels en France, Italie, Espagne et Angleterre. Elle enseigne actuellement les arts plastiques à Paris et travaille à l’élaboration de plusieurs projets graphiques, éditoriaux et vidéos.

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Vous les avez aimés, mangez-les ! / Pascale Rémy & Jean Lecointre / Editions de L’Epure

Mercredi 5 novembre à 18h30, soirée à l’occasion de la sortie de Vous les avez aimés, mangez-les ! dePascal Rémy et Jean Lecointre aux éditions de l’Épure.

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Comme tout un chacun, vous possédez sûrement un chien, un chat, un oiseau, un poisson rouge ou, qui sait, un ser- pent ou un caméléon. Comme tout bon maître, vous chérissez votre petit Kiki, Rex, Moumoune ou Fifi. Rien n’est trop beau pour lui : nourriture variée (et de qualité !), panier confortable, litière, collier gravé à son nom, aquarium chauffé, nonosse et baballe pour faire joujou, etc. Malheureusement tout cela a un prix et, il faut le reconnaître, les temps sont durs…

Alors, quand arrive la fin du mois et que l’argent vient à manquer, il vous est sûrement déjà arrivé, en contemplant votre frigo désert, d’envier votre fidèle compagnon qui, lui par contre, ne manque de rien. Vous vous prenez alors à jalouser sa gamelle bien remplie et ses formes rondelettes…

Une fois que vous serez débarrassé de quelques idées préconçues, testez ces bonnes recettes économiques qui feront la joie des petits comme des grands.

Vous allez vous en lécher les babines !

Ce livre se veut délibérément une provocation, un coup de pied dans la fourmillière de nos idées reçues. Il est temps que se pose la question de la souffrance animale aux seules fins de nos plaisirs gastronomiques. Nous nous grandi- rions à ne plus cautionner par nos achats les conditions dégradantes infligées aux animaux par la plupart des élevages industriels. Sans se refuser à une consommation raisonnée, on peut exiger que les animaux d’élevage soient bien traités de leur vivant et mis à mort de la manière la plus digne possible.

Pascal Rémy

C’est après des études calamiteuses au collège d’Aÿ (Marne) que PASCAL RÉMY se laisse orienter vers l’école hôtelière de Thonon-Les-Bains. Trois ans plus tard, il y obtient un C.A.P. de cuisinier, bien décidé à ne jamais pratiquer ce métier qu’il ne comprend pas et qui se résume pour lui à se brûler et à se couper les doigts. L’année suivante, il intègre l’école des Beaux Arts de Nancy où il commence à réaliser des films. Plus tard, il réalise pour Arte un documentaire sur les rapports entre cuisiniers et serveurs, intitulé « Chaud devant ! ». Puis, pour l’émission Thalassa, il réalise une série de reportages présentant des recettes exécutées par des professionnels de la mer : marin, poissonnier, saunier, skipper…

Jean Lecointre

Artiste atypique de la scène graphique contemporaine, JEAN LECOINTRE est un véritable chirurgien du collage numérique. Elève de Roman Cieslewicz, il puise son inspiration en disséquant toutes sortes de vieux papiers – magazines de mode, journaux, romans photos – pour livrer des ambiances étranges, évoquant tout à la fois l’univers de David Lynch période « Eraserhead » ou les associations déstabilisantes de Luis Buñuel.

Dès 1995, Jean Lecointre publie ses premières illustrations pour Libération – journal avec lequel il collabore encore aujourd’hui – avant de mettre en images la cultissime «Balançoire de Plasma» sur un scénario de Pierre La Police. De nombreuses expérimentations graphiques se sont ensuite succédées «L’Hygiène» et «L’Epopée Plastique», des ouvrages qui donneront lieu à 2 expositions chez Arts Factory en 2000 et 2004.

En 2003, Jean Lecointre passe à l’animation avec «Turkish Delights», une collection de péripéties pâtissières diffu- sée sur Canal +. En parallèle, il s’essaye avec succès à l’édition jeunesse en signant 3 ouvrages édités chez Thierry Magnier. En 2010, parution d’une imposante monographie «GREENWICH» revenant sur 15 ans de créativité débridée, et en 2014, il publie « Hommes entre œufs » et « Femmes entre ailes », le tout aux éditions Cornelius.

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Guillaume Dumora, Pacôme Thiellement & Emmanuel Guibert / Revue Portrait / Lancement

Mardi 4 novembre à 18h30, nous fêtons la sortie du numéro 2 de la revue Portrait en présence de trois invités de ce numéro :

– Guillaume Dumora, votre libraire fondateur et co-gérant du Monte-en-l’air pour une longue interview,

– Pacôme Thiellement, notre auteur en résidence cuvée 2013 avec son Satan trismégiste, pour une correspondance imaginaire avec Donny Hathaway,

– Emmanuel Guibert avec une BD inédite.

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Dans ce second numéro, PORTRAIT interroge le hasard.

Quelle place occupe-t-il et quel rôle joue-t-il dans nos vies ?
Pour certains, il est la réponse aux questions qui demeurent suspendues. Pour d’autres, le hasard porte des clés de compréhension.

Guillaume Dumora, libraire iconoclaste interviewé dans un portrait chinois, confie : “Le hasard permet de faire des écarts ou des choix qui mènent là où on doit aller.
Jean-Claude Ameisen, psychiatre et président du Comité d’éthique, laisse planer l’ombre de Spinoza sur son entretien, convaincu que “le hasard est d’abord un asile de l’ignorance”.
Les auteurs de Portrait se sont glissés là où le “hasard” agit sur une vie et lui donne une tournure nouvelle. Pacôme Thiellement décode, dans la Correspondance imaginaire, la face sombre de Donny Hathaway, figure de la soul music, alors que Laure Albernhe, journaliste à TSF Jazz, dresse un portrait musical sensible de Jean-Claude Zylberstein, avocat-éditeur. Gaëlle Josse, elle, ausculte avec Lisa Lovatt-Smith les manques qui ont poussé cette ex-rédactrice en chef du Vogue Espagne à s’établir au Ghana pour se consacrer aux enfants abandonnés. De son côté, Geneviève Flaven, fondatrice d’une agence en conseil, s’est installée à Shanghai et raconte, dans Carnet de bord, son autre vie, celle d’un écrivain. Enfin, Elsa Lepoivre, sociétaire à la Comédie-Française, révèle en quatre séquences son féminisme né sur les planches et Richard Renaldi dévoile, dans le Portfolio, des extraits de sa série d’images Touching Strangers.

1 LETTRE À DONNY HATHAWAY
chanteur noir américain qui a marqué l’histoire de la soul musique
2 PORTRAIT MUSICAL DE JEAN-CLAUDE ZYLBERSTEIN
avocat des Daft Punk, fondateur des éditions 10/18, passionné et collectionneur de jazz
3 PORTRAIT CHINOIS DE GULLAUME DUMORA,
fondateur du Monte en l’air, librairie indépendante
4 PARCOURS DE RAPHAEL JERUSALMY,
écrivain, ex-colonel dans l’armée israélienne, chasseur de livres anciens
5 PORTFOLIO DE RICHARD RENALDI,
quand des inconnus se rencontrent…
6 PORTRAIT DE FAMILLE SUR L’ÎLE DE KIHNU EN ESTONIE,
une île de 500 habitants, dont le patrimoine est protégé par des femmes
7 INTERVIEW DE JEAN-CLAUDE AMEISEN,
psychiatre, philosophe, président du conseil d’éthique, il raconte le hasard
8 NOUVELLE INÉDITE DE JULIE BONNIE
9 CARNET DE BORD DE GENEVIÈVE FLAVEN
10 PARCOURS DE LISA LOVATT-SMITH
ex-rédactrice en chef de Vogue Espagne, elle vit au Ghana où elle a créé une fondation pour enfants
11 PORTRAIT AMÉRICAIN DE ELSA LEPOIVRE
quatre séquence de la vie de cette sociétaire de la Comédie-Française qui lui ont révélé sa condition de femme
12 QUI ÊTES-VOUS ? HERVÉ JUVIN
13 BD INÉDITE D’EMMANUEL GUIBERT
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Jeu et théorie du Duende

Dimanche 2 novembre à 18h30, chaque Soirée commence dans un lieu voisin, nous nous déplaçons ensuite à la “maison du Soir” du Duende !

Duende
JEU ET THÉORIE DU DUENDE
de Federico Garcia Lorca

Conception Adaptation, Performance
Rodrigo Ramis

Célèbre conférence donnée par le poète.
Qu’est-ce le duende?

RITUEL DE CAFÉ
Photo de Famille
PARCOURS
Chaque Soirée commence dans un lieu voisin, nous nous déplaçons ensuite à la “maison du Soir” du Duende !

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Clémentine Mélois & Stéphane Trapier / Cent titres & Tarzan contre la vie chère / Editions Grasset & Editions Matière / Vernissage & Dédicace

Vendredi 31 octobre, vernissage de l’exposition de Clémentine Mélois à l’occasion de la publication de Cent titres aux éditions Grasset +

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Vernissage de l’exposition de Clémentine Mélois à l’occasion de la publication de Cent titres aux éditions Grasset + dédicace de Stéphane Trapier à l’occasion de la publication de Tarzan contre la vie chère aux éditions Matière.

Cent titres, Clémentine Mélois

Voici une étonnante bibliothèque. Clémentine Mélois y pastiche par l’image les classiques de la littérature. Lirons-nous aujourd’hui Maudit Bic, d’Herman Melville, ou Père et Gay, de Léon Tolstoï ? Au fait, quel philosophe a-t-il écrit le Crépuscule des idoles des jeunes ? Pour décrypter les anagrammes, contrepèteries, homophonies, permutations et autres astuces de ces cent titres, on passera de la culture classique à la culture populaire, puisant dans des souvenirs de lectures, de chansons, de publicités ou de films.
Ce jeu est aussi une façon de s’interroger sur l’esthétique d’une couverture, qui porte une double histoire, celle de l’œuvre et de son destin, et aussi celle de l’édition.

Clémentine Mélois est née en 1980 (le 15 juin, comme Jean-Philippe Smet). Elle a grandi à La Ferté-Milon (ville natale de Jean-Racine), est allée au collège à Villers-Cotterêts (où est né Alexandre Dumas), et a fait ses études aux beaux-arts de Paris (comme Nicolas Poussin). Son travail d’artiste s’articule autour des notions de multiple et de «chose imprimée». Il se compose de détournements d’images, de références décalées, d’appropriations visuelles, de clins d’œil et de glissements sémantiques.

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Tarzan contre la vie chère, Stépahne Trapier

Avec Tarzan contre la vie chère, Stéphane Trapier rejoue les cow-boys et les Indiens, il refait l’attaque de la diligence, les duels au soleil, les règlements de compte, les capes et les épées, les ors et les perruques, la flibuste et les mystères de la jungle. Ouvrir Tarzan contre la vie chère, c’est retrouver à chaque page les scènes initiatiques du cinéma du dimanche soir : les baisers, la sauvagerie, les corps à corps, l’héroïsme, la trahison, le crime… Mais les retrouver comme suspendues par le dessin, comme figées hors de leur temps, irrémédiablement arrachées à notre enfance.

Car ni les cow-boys, ni les belles marquises, ni les centurions ne parlent plus la langue, si niaise, si sentencieuse et si profonde, que nous leur connaissions jadis. Que leur est-il arrivé ? Ont-ils regardé la télé à leur tour ? Ont-ils fréquenté en cachette la machine à café du bureau ? Ont-ils lu 20 Minutes avant d’enfiler leur costume ? Comment expliquer sinon leur soudaine préoccupation pour les RTT, la dette souveraine, le mariage pour tous ou le bilan carbone ?

Il faut se rendre à l’évidence, Stéphane Trapier a tenté ici le reboot ultime : faire parler aux héros d’autrefois le langage de notre époque — les petits dialectes politiques, économiques, publicitaires et managériaux que Trapier excelle à capter et à restituer. D’ailleurs, chez Trapier les héros ne sont jamais fatigués de bavarder. À preuve Tarzan lui-même, singeant l’élu écoresponsable pour épater sa fidèle compagne : « Tu verras, Cheetah, un jour nos pagnes seront fabriqués dans des pays où le coût du travail est dérisoire, et nous les achèterons dans des enseignes aux prix alléchants… J’appellerai ça la mondialisation positive ! »

Et puis de toutes façons, l’ouvrage est précédé d’un « Almanach 2007 des trucs sympas » qui justifie à lui seul sa présence en tête de gondole