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Placid / J’y étais / Editions Alain Baulet / Vernissage

Jeudi 2 octobre à 19h, vernissage de l’exposition de Placid, à l’occasion de la publication de J’y étais publié aux éditions Alain Beaulet. L’accrochage de dessins changera en permanence grâce aux aimants et aux parois métalliques du Monte-en-l’air.

Chaque jour des nouveaux carnets éclatés sur les murs !

D’autres dessins sont visibles ici

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Exposition du 2 au 15 octobre

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Fred Voisin / The ugly monsters / Vernissage

Samedi 13 septembre à 18h, vernissage de l’exposition à l’occasion de la parution de The ugly monsters de Fred Voisin.

fred voisinFrédéric Voisin a produit une série d’extraterrestres rétros, des monstres cartoonesques venus de toutes les galaxies qui rendent hommage au dessinateur Basil Wolverton. Un catalogue et une série de vignettes ont été édités à cette occasion.

Exposition du 13 au 28 septembre

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Après des études à l’école supérieure des Arts appliqués, (ENSAAMA) à Paris, Frédéric Voisin démarre sa carrière artistique dans les années 1980. Il s’impose alors dans le domaine de l’illustration : pour la presse, les agences de publicité et le monde musical (affiches, couvertures de disques).

Dés1983, Frédéric Voisin est un des premiers à utiliser l’informatique, en partenariat avec Apple Computer, pour la création d’images infographiques qu’il expose en Angleterre, au Canada, aux Etats-Unis, au Japon. Il fait parti des artistes associés à la « figuration libre » . Il poursuit ensuite sa carrière d’illustrateur à Londres dans les années 90 ou il crée des illustrations et des couvertures de disques. En parallèle il passera un Master of Art en gravure au Camberwell College of Art de Londres.

Il s’installe à Reims en 2000, et se consacre exclusivement à la gravure et à la peinture. Son oeuvre pictural abstraite dénote un intérêt pour la matière pure : jeu des pigments, leur couleur, leur matérialité, usage du vernis transcendé jusqu’à devenir un élément du motif. Avec l’estampe, Frédéric Voisin explore un tout autre mode d’expression : la gravure sur linoléum qui découle de la technique de la gravure sur bois. Mais étonnamment en changeant de technique, l’artiste change aussi de motif. Il revient à nouveau vers la figuration et explore une iconographie traditionnelle. Passionné de l’histoire du Moyen Age et de la Renaissance, il explore les gravures des grands Maîtres (DÜRER, SCHONGAUER, CRANACH…).

L’opportunité lui est donnée d’exposer ses gravures avec celles de Albrecht DÜRER. En 2008 Il entreprend donc comme le Maître d’illustrer l’Apocalypse de saint JEAN.
L’exposition à lieu en septembre 2010 au Musée le Vergeur (Reims) qui conserve la série de l’Apocalypse du Maître de la Renaissance.

En 2011 Frédéric Voisin décide de créer une fresque de 16 m sur 2m sous forme « d’expand banners « . Cette série de 16 panneaux fera l’objet d’une exposition itinérante dans des lieux sacrés (Cathédrale, Abbayes…).

http://www.frederic-voisin-apocalypse.net/

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36 mountains / Exposition / Vernissage

Dimanche 1er juin à partir de 17h, vernissage de l’exposition 36 mountains.

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36 mountains est un projet d’exposition consacré au dessin. 20 artistes ont été invités à s’exprimer dans des carnets en accordéon spécialement conçus pour l’occasion. Ils ont créé des oeuvres d’ 1.80 m de long, à mi-chemin entre la planéité du papier et le volume d’un objet.

Pour la seconde édition de 36 mountains, l’exposition voyagera de Zagreb à Paris en passant par Ljubljana. D’un pays à l’autre ils seront reçus de manières différentes et, espérons le, ils pourront être une source d’inspiration. Si les propositions qui sont montrées sont variées, elles n’ont pas pour ambition de montrer l’ensemble de ce qui constitue le dessin aujourd’hui. C’est une vision subjective que partagent Jelena Bando et Guilhem Monceaux, qui ont initié ce projet.

Qu’il s’agisse de quelques lignes de crayon ou d’un assemblage complexe de couches colorées, d’une galerie de personnages ou d’abstraction pure, chaque carnet émerge d’autant d’esprits créatifs. 36 mountains leur offre une plateforme commune ou leurs travaux peuvent se croiser, voyager, et aller à la rencontre de publics variés.

Artistes invités : Jelena Bando (HR), Ludovic Boulard Le Fur (FR), Claire Chauvel (FR), Katrin Coetzer (ZA), Brecht Evens (BE), Frederic Fleury (FR), Davor Gromilovic (RS), Savitry Joli Gonfard (FR), Jean Jullien (FR), Marija Koruga (HR), Masako Kubo (JP), Guilhem Monceaux (FR), Emmanuelle Pidoux (FR), Zoran Pungercar (SI), Emir Sehanovic (BA), Ana Sladetic (HR), Marko Tadic (HR), Thtf (FR), Vold (SE), Dominik Vukovic (HR).

36 mountains gathers drawings from all around the world. 20 artists were invited to express themselves in concertina notebooks specifically designed for that project. 1,80 meters long artworks, between the flatness of paper and the volume of an object.

For its second edition, 36 mountains will travel to Zagreb, Ljubljana and Paris. As the works will move from one country to another, they will arouse different reactions from diverse audiences and hopefully, they can be a source of inspiration. If the propositions are very different from each other, it is not the aim of the project to show a comprehensive view on what is drawing today. It is a subjective take from both curators Jelena Bando and Guilhem Monceaux, that reflects their interest for that medium.

This project is about sharing talent on pieces of paper. Whether they are just thin grey lines or a complex assemblage of colored layers, each work presented here emerged from creative minds. As humble as it is, 36 mountains offers them a common platform where they can connect between them, with the places, with the people.

 

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FCND bande dessinée de l’école Auguste Renoir /Créatures / Exposition

Vendredi 23 mai à 18h, les 13 étudiants de FCND Bande Dessinée de l’école Auguste Renoir exposent leurs travaux au Monte-en-l’air !

tota flyVenez nombreux lire de belles BD, admirer des affiches sérigraphiées, acheter pour pas cher des chouettes livres, des chouettes fanzines et même des cartes postales ! Liqueurs et victuailles seront évidemment de la partie.

 

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DMMP Party : Joko / Juliette en juillet / Exposition + L’Art interdit / Viktoria Lomasko et Anton Nikolaïev / Lancement / Editions The Hoochie Coochie + concerts & dédicaces

Mercredi 7 mai à 18h30, vernissage de l’exposition Joko à l’occasion de la parution de Juliette en juillet aux éditions The Hoochie Coochie, vernissage accompagné du lancement de L’Art interdit de Viktoria Lomasko et Anton Nikolaïev et d’une série de concerts pour les dix ans de la revue DMPP.

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Juliette en juillet, de Joko

Juliette est une jeune fille un peu rêveuse. Lors de vacances à la campagne dans le domaine de sa tante Héléna, elle assiste à des événements étranges qui auront tôt fait de l’entraîner dans la plus improbable et terrible des aventures…

Après plus de vingt ans d’activisme graphique, ce grand livre de fiction populaire nous arrive comme meilleure arme pour faire exploser le double talent de conteur et d’illustrateur de l’immense Joko.

Associant fantastique et gaudriole, atmosphère policière et dérision, récit initiatique et érotisme gentiment SM, il s’invente avec Juliette en juillet un nouveau territoire au sein de la littérature de genre, à l’exact croisement de L’Île du le Docteur Moreau, des Infortunes de la vertu, du Club des cinq et du Gwendoline de John Willie.

L’Art interdit, de Viktoria Lomasko et Anton Nikolaïev

Moscou, 2007. Une exposition d’art contemporain intitulée L’Art interdit 2006 regroupe des œuvres interdites d’exposition dans plusieurs galeries et musées moscovites l’année précédente. L’organisation orthodoxe conservatrice ultra-nationaliste Le Concile du peuple attaque alors le directeur du musée (Youri Sakharov) et le commissaire d’exposition (Andreï Erofeïev) pour « incitation à la haine anti-religieuse », en vertu de l’article 282 du code pénal russe.

Ils risquent cinq ans de prison.

En 2008, Andreï Erofeïev est licencié de la galerie dans laquelle il travaillait.

En 2009 et 2010, les artistes et militants Anton Nikolaïev et Viktoria Lomasko assistent à la quasi-totalité des séances de ce procès truqué, kafkaïen, éminemment révélateur de la censure sous-terraine à l’œuvre dans la Russie Poutinienne.

Ce livre, associant texte et dessins, en est le compte-rendu détaillé. Oubliez les clichés inhérents à la mode de la « BD de reportage », L’Art Interdit est un véritable documentaire politique venu de l’une des plus surprenantes scènes émergentes de la bande dessinée contemporaine.

Concerts :
JOKBAND (JOKO featuring France Cartingny & Fredox)
KINRISU
WINDS OF CHANGE

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Mamadou Cissé & Javier Pagola / Les villes & Al salon / Editions Solo ma non troppo / Vernissage + Amandine Meyer / Dédicace

Mercredi 30 avril à 18h30, vernissage de de l’exposition de Mamadou Cissé et Javier Pagola à l’occasion de la publication simultanée de Les villes et de Al salon aux éditions Solo ma non troppo + dédicace de Amandine Meyer Le naufrage enchanté de tête d’œuf et des enfants chewing-gum édité par Ion.

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Les villes de Mamadou Cissé

Depuis longtemps Mamadou Cissé est en quête d’une cité idéale où loger tous les humains. Pour ce faire, il dessine à la règle et aux feutres des cités quadrillées de longues et fluides avenues gorgées de voitures et de hautes tours colorées.

Mamadou Cissé vit et travaille en région parisienne, il participe régulièrement à de grandes foires d’art internationales.

 Al salon de Javier Pagola

Dans Al salon Javier Pagola porte un regard à la fois voyeur et complice sur les « chicas » qui passent dans la rue, celles qui se déshabillent ou qui jouent à des jeux érotiques (le chien et le chimpanzé n’en perdent pas une miette !).

Javier Pagola vit et travaille à Madrid ; il réside cette année à Berlin.

Le naufrage enchanté de tête d’oeuf et des enfants chewing-gum de Amandine Meyer

L’enfance et ses monstres. Les choses étranges qui se cachent sous le merveilleux. Amandine Meyer creuse ces univers depuis 2005, dans des petits livres de dessins autoédités, ou des pages de bandes dessinées intrigantes dans la revue Dopututto chez MISMA. Ses deux derniers ouvrages (La Villa, le beurre et les tartines et Bambi #2) sont sortis aux éditions Solo Ma Non Troppo.

On pense souvent à l’artiste brut Henry Darger, qui prenait des images standard de petites filles dans des livres de coloriage et les mettait en scène dans de grandes batailles épiques. Amandine Meyer réutilise aussi des silhouettes d’illustrations classiques de contes de fées, mais ses images sont envahies par des végétaux inquiétants, les couleurs aquarellées se troublent, l’acidulé devient corrosif.

Qui est le Tête d’Oeuf du titre, un nouveau Humpty Dumpty qui va une nouvelle fois se fracasser le crâne ? Et ces enfants chewing-gum, naïfs et bizarres, quelles aventures vont-ils vivre ? Il n’y pas une seule histoire claire mais des pistes s’ouvrent partout.

Le site de l’auteur est ICI.

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Journal + Yékini, le roi des arènes + Visiter tous les pays / Julie Delporte, Lisa Lugrin & Clément Xavier, Pina Chang / Editions L’Agrume, Flblb et Na

Jeudi 27 mars à partir de 18h30 : Julie Delporte, Lisa Lugrin & Clément Xavier, Pina Chang, trois dessinatrices maniant le crayon – et un scénariste-, une autobiographie, une biographie, des récits voyageurs.

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Journal, de Julie Delporte, éditions L’Agrume

Julie Delporte ouvre son Journal sur une citation d’Annie Ernaux, et raconte la fin de sa vie de couple avec des crayons de couleur. Chaque page est dessinée comme un haïku, se lit comme un poème. Elle évoque avec finesse ses peurs, sa mélancolie profonde, ses choix sans l’autre, la solitude et l’absence… Comment vivre de nouveau ? se défaire de ses habitudes à deux ? Comment ne pas s’oublier en oubliant une partie de soi-même ? Faire face à ses angoisses, apprivoiser la solitude, apprendre à recommencer.

Julie Delporte questionne la séparation, et on plonge avec elle dans un gouffre, on cherche à fuir la perte, puis on sort la tête de l’eau avec elle et on se souvient… À travers ce récit, elle pose la question de la trace de l’histoire d’amour, le vœu de tout garder en mémoire ou de tout effacer.

Yékini, le roi des arènes, de Lisa Lugrin et Clément Xavier, éditions Flblb

– Vous avez lu la biographie de Yékini ? Quel ennui, il passe son temps à s’entraîner ! Ce type a l’air d’un gros nounours qu’on a envie de câliner.

– Le problème, c’est qu’on ne vend pas des peluches, mais un sport de combat !

Au Sénégal, la lutte est encore plus populaire que le football. Ce livre raconte l’histoire de trois lutteurs de génie qui se partagent le titre de “roi des arènes”. Originaire d’une petite île où la lutte puise ses racines, Yékini résiste au système médiatique, politique et financier. Mais pour combien de temps ?


Lisa Lugrin et Clément Xavier ont découvert la lutte en 2010, et sont retournés à Dakar au lendemain des élections présidentielles de 2012 pour y faire ce livre. Au-delà du portrait de Yékini, ils présentent les enjeux qui s’emparent d’un sport lorsqu’il devient le plus populaire d’un pays.

Visiter tous les pays, de Pina Chang, éditions Na

Visiter tous les pays est le fruit d’un travail de plusieurs années, qui s’est enrichi de voyages et de rencontres dans de nombreux pays (en Islande, Finlande, Bolivie). Chacune des histoires qui composent ce recueil explore une technique différente : crayon de couleur, encre de chine, encres colorées, feutres, tout en développant des thématiques récurrentes : la question des limites, des frontières, de l’ailleurs et la recherche de soi dans des décors dominés par une nature exaltée.

Les personnages de Pina Chang sont des étrangers, des vieux, des vagabonds, autant d’individus en marge des sociétés humaines et qui évoluent à leur périphérie. Ils arpentent des univers qui semblent le reflet de leur monde intérieur, tout en se faisant l’écho de tensions sociales et politiques.

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Vice / Exposition

Mercredi 15 janvier à 18h

viceOn aime bien les illustrations, notamment parce qu’elles nous permettent de faire des choses qu’il nous est impossible de faire avec des photos, comme mettre en scène des assassinats de présidents par balles-pénis, des spermatozoïdes castagneurs ou des cartables vieillissants. On aime tellement ça qu’on publie parfois des numéros entiers sans photos. Et, récemment, on a décidé de clamer cet amour en organisant une expo avec des dessins joliment encadrés de nos collaborateurs réguliers.

On présentera une sélection de nouveaux dessins, d’illustrations publiées dans le magazine et de travaux exclusifs sur le thème de l’artiste au travail. Vous retrouverez notamment Johnny Ryan, Daniel David Freeman, Kyle Platts, Cei Willis, Craig Questions, Sam Taylor, Malin Bergström, Krent Able, mais aussi des contributeurs français comme Frédéric Fleury, Florence Lucas, Manuel Moreno, Jérémy Boulard Le Fur, Robin Renard, Anna Wanda, Roca Balboa, Guillaume Sportlukce, Freak City et Zelda Mauger.

Ça se passera du 15 au 29 janvier à la librairie/galerie Le Monte-en-l’air. Le vernissage aura lieu le 15 janvier à partir de 18 heures, et y’aura plein de Grolsch bien fraîches. À toute.